Bird box est un roman post-apocalyptique de Josh Malerman, publié chez Orbit. C'est l'idée de départ qui a éveillé ma curiosité : les gens deviennent ultra-violents puis suicidaires suite à la vision de quelque chose, mais quoi ? Ceux qui l'ont vu ne peuvent plus en parler. Les survivants se voient obligés de vivre enfermés dans leur maison, et de sortir les yeux bandés, la peur au ventre.
Malorie élève ses enfants de la seule façon possible : barricadés chez
eux. Dehors, il y a un danger terrible, sans nom. S’ils s’aventurent à
l’extérieur, ce sera les yeux bandés pour rester en vie. S’ils ôtent
leurs bandeaux, ils se donneront la mort avec une violence inouïe.
Malorie a deux solutions : rester cachée avec ses enfants, isolée, ou
bien entamer un terrifiant périple jusqu’au fleuve dans une tentative
désespérée, presque vaine, pour rejoindre une hypothétique colonie de
survivants.
Je n'étais pas convaincue au début de ma lecture : avec son idée, l'auteur pouvait soit produire un excellent post-apo ou alors se planter royalement par manque de crédibilité. Je dois dire qu'il a réussi son pari.