J'ai récemment audiolu La Servante écarlate de Margaret Atwood. Un classique de la dystopie écrit en 1985, que je voulais lire depuis longtemps, envie boostée par la série (dont je n'ai supporté que la saison 1, ce qui est très bien étant donnée qu'elle correspond au roman.)
La Servante écarlate a reçu le Prix Arthur C. Clarke en 1987. Il est publié chez
Pavillons poche en papier (version de luxe, avec une couverture cartonnée) et en numérique, et disponible en audio en exclusivité chez
Audible.
A peu près tout doit avoir été dit sur ce livre, et pour le coup je ne prétends pas en faire une chronique approfondie, juste vous exprimer mon ressenti de lecture.
Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead,
récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang
d'esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de
rouge, Defred, « servante écarlate » parmi d'autres, à qui l'on a ôté
jusqu'à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de
son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l'austérité monacale,
elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de
travailler… En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour
recouvrer sa liberté.