Le pitch :
De partout, l’En-Dessous vomit la Technole. Sans que l’on sache
pourquoi, sourd cette bouillie toxique et nauséabonde qui, en un autre
temps, dans un univers bien différent, fit la fierté des hommes, le
symbole même de leur domination sur le monde. Des hommes qui,
aujourd’hui, exploitent les rebuts de cet univers disparu, mythique,
dans des gisements à ciel ouvert aux allures de décharges en quête des
oripeaux d’une gloire révolue…
Dans les rues de Caquehan la noire, capitale tentaculaire du royaume,
Obicion enquête. Et l’officieur de justice a fort à faire. Le crime est
odieux. Une jeune fille. Une adolescente. énucléée. Gorge tranchée
ouverte en croix. Là où, précisément, pour la première fois, la Technole
fit son apparition… Et à l’horreur s’ajoute l’étrangeté la plus absolue
car très vite, il s’avère que les os de la victime sont en… plastique.
Mon avis :
Je suis tombée amoureuse du style de Jérôme Noirez en lisant deux de ses nouvelles se situant dans l'univers macabro-déglingué de
Féérie pour les ténèbres, à savoir
Pour qui grincent les gonds et
Sous le pont, dont vous pouvez retrouver la chronique
ici. Elles sont tirées de l'intégrale tome 2 publiée chez
Le Bélial'.
J'ai donc logiquement décidé d'attaquer l'intégrale tome 1 ensuite (haha), avec le roman Féerie pour les ténèbres retravaillé par l'auteur.